Les pétroliers n’ont pas renoncé à la fracturation hydraulique, seule technique actuellement au point pour fracturer les roches emprisonnant du « gaz de schiste« . Pour ne pas attendre l’hypothétique venue d’une nouvelle technique non polluante, ils s’attachent à modifier le vocabulaire employé par les médias.
Début janvier, Christophe de Margerie, PDG de Total, indiquait au journal Le Monde qu’il ne fallait peut-être pas totalement laisser tomber la fracturation hydraulique mais repenser surtout sa dénomination.
Nouveau terme proposé : la stimulation hydraulique. Certains vont même jusqu’à employer le « massage de roche« .
Nous prendrait-on pour des gens de peu d’intelligence ?
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