Ecologie pour Rosny

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Les hauts et les bas de l’écologie politique, explications

Ces derniers jours ont connu un refroidissement soudain entre les socialistes et les écologistes associés au gouvernement. En affirmant le 11 septembre que le gouvernement ne prévoyait pas de réduire l’avantage fiscal accordé au diesel dans le projet de loi de finances 2014, Philippe Martin a mis le feu aux poudres… avant de revenir sur son propos. Une chose est sûre, l’accord PS-Europe Ecologie-Les Verts signé en 2011 prévoyait bel et bien un « rééquilibrage de la fiscalité des carburants pour accélérer la dépollution et réduire la puissance des véhicules ».

Dénonçant un « très mauvais signal », le coprésident des députés écologistes, François de Rugy, a affirmé que « le budget 2014 tel qu’il a été présenté est illisible et pas votable en l’état ». Tandis que Barbara Pompili, coprésidente du groupe Europe Ecologie-Les Verts à l’Assemblée nationale, a déclaré sur l’antenne de RTL que sans « grande orientation prise sur l’écologie » avant la fin 2013 il sera « compliqué » pour son parti de rester au gouvernement.

Sortira, sortira pas ? La question revient régulièrement depuis que deux membres d’Europe Ecologie – Les Verts ont été appelés au gouvernement. Daniel Boy, sociologue et directeur de recherche au Cevipof s’interroge dans une vidéo publiée par le site Thinkovery (voir ci-dessous) : Est-ce dû à la nature même du parti écolo français et au rapport compliqué qu’il entretient avec le pouvoir ?

Des caractéristique du système politique français à l’envie de « faire de la politique autrement », en passant par le fonctionnement d’Europe Ecologie – Les Verts, Daniel Boy rappelle un certain nombre de faits qu’il faut avoir en mémoire.

Une vidéo proposée par Thinkovery

Auteur : EB1962

Militant EELV, élu municipal à Rosny-sous-Bois

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