Nous avons besoin d’un conseiller général de gauche à Rosny-sous-Bois pour défendre les intérêts de notre commune au sein de la majorité du Conseil général. En Seine-Saint-Denis, les écologistes « d’Europe Ecologie Les Verts » ont négocié un accord électoral avec le PS pour se donner toutes les chances de réussite aux prochaines élections cantonales. A Rosny, c’est Philippe Vachieri (PS) qui représentera nos deux mouvements pour que les valeurs de solidarité, d’écologie urbaine et de qualité d’éducation soient enfin promues dans notre commune.
Parmi les prérogatives du département, figurent les aides sociales, notamment l’insertion sociale et professionnelle. Le bilan de Claude Capillon, maire de Rosny et conseiller général sortant, est vide dans ces domaines. Non seulement parce que les priorités affichées sur son blog sont la sécurité, la prévention et la sensibilisation de la jeunesse (mais à quoi. Il ne le précise pas), le soutien aux personnes en difficulté (Il précise : handicap et fin de vie. Pas étonnant que les parents rosnéens à la recherche d’un travail ont des difficulté à confier leurs enfants à la cantine) et le développement durable (mais on sait que ce terme ne recouvre rien de concret à Rosny). Mais si le bilan de Claude Capillon est négatif, c’est surtout parce que, quoi qu’il dise ou fasse, il lui est difficile de peser en faveur des rosnéens. Avec un conseiller général UMP, ceux-ci passent toujours derrière les séquano-dionysiens ayant choisi des élus de gauche à l’assemblée départementale…
Nos collèges ont pourtant besoin de travaux, notamment de travaux d’isolation pour dépenser moins d’énergie en chauffage et accueillir nos enfants dans de meilleures conditions matérielles.
Il serait également bon qu’un conseiller général de gauche puisse surveiller l’aménagement du plateau d’Avron que l’on nous promet depuis 20 ans. En effet, les premiers échos du projet des deux communes concernées (Rosny et Neuilly-Plaisance) peuvent faire craindre une restriction de l’espace naturel et un saccage de la nature, au profit de l’aménagement d’un « square parisien » qui n’aurait de parc naturel que le nom.E.B.
